SOIREE ET POURTANT CA TOURNE
20 h 00 : Repas japonais
21 h 15 : Projection
Le mardi 13 mai à 21h15, nous vous proposons le film japonais,
My Sunshine, présenté en compétition l'an dernier au Festival de Cannes (sélection un Certain Regard).
C'est le deuxième long métrage du réalisateur de 28 ans Hiroshi Okuyama.
Il aborde avec délicatesse les thèmes de la différence, l'acceptation de soi, l'amour et la liberté, dans un pays très réglé par les codes sociaux.
Nous sommes immergés dans la société contemporaine japonaise, loin de Tokyo, sur une autre île que la nôtre, l'île d'Hokkaidô, dans la splendeur de l'hiver, offrant un récit qui glisse sur une fine couche de glace,
entre harmonie et mélancolie.
« Ce film m’a profondément marqué par sa capacité à retrouver la douceur de l’enfance, là où tout semblait pur et rempli d’espoir.
My Sunshine nous donne une chance de revisiter cette époque de nos vies avec tendresse. En ces temps agités, il nous rappelle l’importance de préserver cette douceur et de ne pas oublier que, même adultes, nous avons besoin d’un peu de lumière enfantine pour avancer. » (Arnaud, critiques spectateurs, sur AlloCiné).
Faites-vous votre propre opinion de cette histoire d’un premier amour,
où les images de l’hiver sur l'île japonaise jouent un rôle particulièrement remarquable.
De Hiroshi Okuyama Par Hiroshi Okuyama Avec Sosuke Ikematsu, Keitatsu Koshiyama, Kiara Nakanishi Titre original Boku No Ohisama
SYNOPSIS
Sur l’île d’Hokkaido, l’hiver est la saison du hockey pour les garçons.
Takuya, lui, est davantage subjugué par Sakura, tout juste arrivée de Tokyo, qui répète des enchaînements de patinage artistique. Il tente maladroitement de l’imiter, si bien que le coach de Sakura, touché par ses efforts, décide de les entrainer en duo en vue d’une compétition prochaine…
À mesure que l’hiver avance, une harmonie s’installe entre eux malgré leurs différences. Mais les premières neiges fondent et le printemps arrive, inéluctable.
« Sous des dehors enfantins accueillants, c'est une véritable petite expérience d'équilibrage social qui se profile ici, de celles auxquelles la société se dérobe trop souvent. » (Le Monde)
« Malgré notre aversion pour le patinage sur glace et ses costumes atroces et désuets, le cinéaste japonais réussit à nous en montrer la beauté, voire la magie. » (Les Inrockuptibles).
Okuyama, qui signe aussi la photo et le montage, capte ainsi superbement la fugacité d’une parenthèse dont chacun sortira métamorphosé.
À ne pas manquer !
Petit rappel, et.. petite information nécessaire.
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